Un moment d'intériorité pour cheminer vers Toussaint.

Voici un des textes que les  enfants ont rédigés pour la célébration.

Merci de nous aider à construire des ponts plutôt que des murs. Ces murs pour lesquels nous demandons pardon.

- Pardon de manquer quelquefois de respect, de blesser les autres, d'être jaloux.

- Pardon de ne pas regarder les autres, de ne pas les écouter ou de les laisser seuls.

- Pardon de juger les autres quelquefois sur leur seule apparence.

Utilisons plutôt notre énergie pour bâtir :

- des ponts afin de reconstruire une amitié perdue.

- des ponts pour apporter de l'aide.

- des ponts pour faire confiance et encourager les autres.

- des ponts pour nous compléter et unir nos différences.

Nous sommes allés visiter les Archives Départementales d'Agen : 20 kilomètres de rayonnages; impressionnant ...non!

Monsieur Laurent BESSIERES, nous a reçus dans la salle de conférence et nous a expliqué la règle des "4 C" de l'archiviste

Collecter

Classer

Conserver

Communiquer

Nous avons appris beaucoup d'autres choses, c'est pour cette raison que nous reviendrons le 13 novembre pour un autre atelier.

Merci Laurent. Les CM1 B

On a travaillé avec de l’air, dans la classe.

Il y a de l’air  tout autour de nous mais on ne le voit pas avec les yeux : il est invisible.

Notre ventre respire : ça veut dire que l’air rentre dans le corps et puis il sort. (mais il n’est pas tout à fait pareil).

Le corps a besoin de respirer de l’air. Sinon on est mort.

On a joué avec un sac en plastique transparent. Au début il est tout froissé parce qu’il n’y a pas d’air dedans.

Puis on le balance quand il est ouvert et l’air rentre dedans. On ferme le sac. On a emprisonné l’air dedans. C’est pas facile de fermer le sac avec les mains.

Le sac a ressemblé à un coussin, un coussin d’air. Le coussin d’air est mou. La table est dure quand on appuie dessus. Pas le sac d’air : l’air est compressible. Je peux appuyer dessus, il s’enfonce un petit peu.

Après la maîtresse a percé le sac, avec une épingle. L’air s’en va mais je ne le vois pas. Pour voir l’air qui s’en va, il faut plonger le sac d’air dans l’eau : là je vois des bulles qui partent en haut : elles montent.

On a regardé aussi un ventilateur. Ça ressemble à une fleur qui tourne. La fleur s’appelle les hélices. Si elles ne tournent pas vite, la ficelle du bâton de parole ne bouge pas : Il n’y a pas de vent.

Quand les hélices tournent vite elles font bouger la ficelle du bâton de parole. C’est parce que les hélices font du vent : elle font bouger l’air et l’air qui bouge fait bouger la ficelle :

le vent c’est de l’air qui bouge.

Trois fois, on a reçu les grands dans la salle de l’ordinateur en maternelle. Le grand qui s’occupe de moi c’est mon parrain ou ma marraine. Et moi je suis le filleul ou la filleule.

Avec la maîtresse on a fait une carte d’identité avec notre photo et l’empreinte de notre index. On a collé des étiquettes de lettres pour écrire notre prénom. Nous avons demandé à la secrétaire le tampon de l’école.

Notre parrain ou notre marraine a collé sa photo et écrit son nom.

Quand les grands viennent, ils s’occupent de nous.

Ils nous apprennent les lettres de notre nom.

Ils nous font des dessins.

On a fait aussi une toise, avec une grande ligne verticale et des petites lignes horizontales. La toise sert à nous mesurer. On écrira notre prénom aussi. Et le parrain ou la marraine écrira son prénom.

C’est bien d’avoir des grands avec nous. Parfois on a un peu peur… mais ils sont gentils et savent plein de choses.

     Chers parents de moyens enfants plein d’énergie…

     Nous  vous donnons rendez-vous de temps en temps sur ce blog  pour nous y retrouver pendant quelques unes de nos activités … à bientôt !!!

Les moyens de 2012-2013 ;-)